Trois ans après la fermeture de l’usine d’Argentan, le conseil des prud’hommes désapprouve Jungheinrich.
Trois ans après la fermeture de l’usine, 210 salariés de l’entreprise MIC SA (Mécanique Industrie Chimique), ont obtenu vendredi matin gain de cause devant le conseil des prud’hommes d’Argentan. Cette filiale du groupe allemand Jungheinrich était spécialisée à Argentan (Orne) dans la fabrication de matériels de manutention, transpalettes manuelles, électriques et gerbeurs. L’instance juridique a estimé que le licenciement de ces salariés était « dépourvu de cause réelle et sérieuse ». Elle a également fixé à six mois de salaire les indemnités qui devront être versées aux plaignants.
Patrick Bottois - Rédaction L’Usine Nouvelle
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