- L’ancien site de Stora Enso à Brebières, dans le Pas-de-Calais
- Google Maps.
Alors que la disponibilité foncière est rare, les développeurs d’immobilier logistique profitent des anciens sites industriels.
Trouver des terrains pour construire des bâtiments logistiques n’est pas une mince affaire aujourd’hui. Avec la raréfaction du foncier, les différents acteurs de l’immobilier logistique se tournent désormais vers les anciens sites industriels, rapportent Les Echos, donnant les exemples de Prologis France qui développe 240 000 mètres carrés de surfaces sur l’ancien site PSA à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne) ou Goodman France qui construit un entrepôt de 70 000 mètres carrés sur l’ex-site de l’usine Stora Enso à Brebières dans le Pas-de-Calais.
25% des opérations de Virtuo
Ces opérations se multiplient. « La reconversion de friches constitue 25 % de nos opérations », indique Grégory Blouin, président de Virtuo, dans le quotidien économique. D’autant que ces implantations sont souvent vues d’un bon oeil par les collectivités locales, qui y voient des opportunités d’emploi.
Reste que cela ne se fait pas sans obstacle : « Dépollution du sol, démolition d’anciens bâtiments, suivi d’impact environnemental, réfection de réseaux d’électricité et de communication… » font souvent partie du lot.
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